Oh viens viens viens à Juan-les-Pins

Noailles en juin c’est comme à Juan-les-Pins il y a toujours le soleil, et pour que la chaleur ne se transforme pas en torpeur malgré la fatigue, les vendeurs jouent avec leur parasols et s’encouragent entre les étals, allez allez allez on y va un euro un euro un euro on se dépêche, la barquette…

Une fois l’ascension passée

Ce qu’il reste du marché de Noailles de la semaine dernière, un mercredi veille d’Ascension ? la moitié d’un oignon et un œuf, le reste a disparu, une livre de cerises du pays à 2,60 € le kilo avalée dans la journée noyaux crachés,

Ah les beaux jours

Soleil, un peu d’air frais à Noailles, temps idéal pour se balader entre les étals parmi les légumes de printemps, j’ai pris mes huit premières courgettes du pays, des petites, un concombre noa des Pays-Bas, celui-là je me demande comment il pousse,

Va sortir !

Entre midi et deux à Noailles, les marchands profitent de l’accalmie pour manger un bout et se griller une cigarette, mais l’œil continue machinalement de surveiller l’étal,

La fève du samedi soir

Marseille retrouvée sous un ciel bleu et Noailles aujourd’hui dans un air doux, j’ai mis dans mes sacs une botte de navets blancs à 1,50 € la pièce ainsi qu’une botte de carottes à 1,50 €, un coquet chou vert frisé