Qu’elle vive !

Hier, en fin d’après-midi, après avoir bu un thé à la menthe à Noailles, je passe devant les poissonniers. Le Lamparo range ses étals. L’écaille d’argent les a rassemblé. Dans une caisse, des vives. Le poisson aux délicats reflets bleu a l’air très frais. Je me souviens avoir mangé de ce poisson dans la bouillabaisse…